Le virus nous rappelle notre interconnectivité, notre interdépendance et nos vulnérabilités communes. Il ne respecte aucune frontière. Il ne s’incline ni devant la puissance militaire, ni devant les préceptes religieux, ni devant les décisions gouvernementales. Il est indifférent à l’ethnicité, la nationalité, la foi, le sexe et l’orientation politique, mais, hélas, ne l’est pas à l’âge.